Je ferais des pieds et des mains pour visiter ce parc
http://www.nps.gov/grte/index.htm
juste pour le nom.
En fait, si ce n'étais pas si loin j'essairais quand même d'y aller juste parce que je connais un type dont l'attitude générale en ferait une mascotte idéale pour le parc.
lundi, mai 29, 2006
mardi, mai 23, 2006
Tsé qu'ça va ben quand....
La boule de stress que t'as dans le ventre depuis 2-3 jours est remplacée par une colère froide qui remet tout en place tout correct, tout beau.
C'est l'heure de mettre mon CV à jour...
C'est l'heure de mettre mon CV à jour...
Le film de la fin de semaine
Je me suis dirigé vers le cinéma en fin de semaine pour le film dont le monde parlait vendredi dernier. Je parle bien sûr de Over the Hedge, le dernier film d’animation de Dreamworks.
Over the Hedge est une adaptation long-métrage de la bande dessinée du même nom ( United Media publie les archives de la BD du dernier mois ici ). La bande dessinée raconte l’histoire d’une bande d’animaux qui habites dans un petit boisé près d’une banlieue. La seule chose qui les séparent des humains c’est une haie.
Le film, quant à lui, nous présente une sorte de prologue de la BD. Il raconte l’histoire de RJ, un raton laveur, qui fait la rencontre des autres héros (Verne la tortue, Stella la moufette, une famille d’opossums et une famille de porc-épic ) qui trouvent la haie à l’éveil de leur hibernation. RJ va berner le groupe afin qu’ils l’aident à refaire le stock de nourriture d’un gros ours mal léché à qui il a dérobé ses réserves.
Un petit mot d’avertissement : si vous lisez la BD et que vous voulez aller voir le film, vous devrez vous préparer à voir un prologue à la BD. RJ se joint à peine au groupe, la petite fille que les animaux « éduquent » est remplacée par une sorte de mégère qui habite la maison qui donne sur le terrain où les animaux vivent leur aventures.
L’animation est faite à l’ordinateur dans ce film. Mais on ne sent pas que Dreamworks essayait d’y mettre le paquet côté technique. Les textures sur les animaux sont correctes, tout ce qui est organique est bien rendu mais pas trop et on ne voit d’effets « complexes » pour une animation 3-d comme des reflets dans l’eau ou du feu ou des jeux d’ombres complexes. Ce sont les humains qui souffrent le plus de cette économie de temps de « rendering ». Tout le monde semble avoir a même couleur de peau, les traits ne sont pas détaillés du tout, les cheveux sont généralement immobiles, etc. L’effet final est bien mais pas super.
Côté histoire, si on prend le film comme entité unique c’est assez bien. Si on regarde ce qui se fait comme film semblable, on se rend compte que plusieurs gags sont des calques d’autres films. L’un des gags de la fin est une reprise d’un gag du film Hoodwinked. On a aussi quelques gags pet et de rots dignes de Shrek qui feront rigoler les plus petits mais dont les parents se seraient sûrement passer. Même la scène avec le chien n’est pas sans rappeler les mouettes de Finding Nemo.
Mais là où le film brille c’est dans le choix des voix. William Shatner dans le rôle d’un opossum qui donne dans les excès quand il fait le mort est une perle. Gary Shandling fait un Verne impeccable et même Avril Lavigne tire son épingle du jeu pas trop mal. Mais c’est Hammy l’écureuil, joué par Steve Carrell, qui vole toutes les scènes. Oubliez Bruce Willis et son RJ qui n’a rien de remarquable, c’est l’écureuil qui fait le show. D’ailleurs le film aurait probablement été particulièrement ennuyeux si ce n’eut été de Hammy.
Sommes toutes, Over the Hedge est un bon petit divertissement qui peut être apprécié en famille. Plusieurs gags visuels vont amuser les plus petits et la tentative de critique sociale sur la consommation va plaire aux plus grands. Soyez avisé, si vous lisez la BD, que la critique est généralement moins mordante dans le film.
Je donne donc à Over the Hedge 3,5 ninjas. Et si vous hésitez entre Over the Hedge et Da Vinci Code : le graal se cache dans le musée du Louvres, sous les deux pyramides inversés et Audrey Tautou est la moult fois arrière petite-fille de Jésus.
J’imagine que le paragraphe précédent aurait du avoir un avertissement. Alors faites attention avant de le lire.
Over the Hedge est une adaptation long-métrage de la bande dessinée du même nom ( United Media publie les archives de la BD du dernier mois ici ). La bande dessinée raconte l’histoire d’une bande d’animaux qui habites dans un petit boisé près d’une banlieue. La seule chose qui les séparent des humains c’est une haie.
Le film, quant à lui, nous présente une sorte de prologue de la BD. Il raconte l’histoire de RJ, un raton laveur, qui fait la rencontre des autres héros (Verne la tortue, Stella la moufette, une famille d’opossums et une famille de porc-épic ) qui trouvent la haie à l’éveil de leur hibernation. RJ va berner le groupe afin qu’ils l’aident à refaire le stock de nourriture d’un gros ours mal léché à qui il a dérobé ses réserves.
Un petit mot d’avertissement : si vous lisez la BD et que vous voulez aller voir le film, vous devrez vous préparer à voir un prologue à la BD. RJ se joint à peine au groupe, la petite fille que les animaux « éduquent » est remplacée par une sorte de mégère qui habite la maison qui donne sur le terrain où les animaux vivent leur aventures.
L’animation est faite à l’ordinateur dans ce film. Mais on ne sent pas que Dreamworks essayait d’y mettre le paquet côté technique. Les textures sur les animaux sont correctes, tout ce qui est organique est bien rendu mais pas trop et on ne voit d’effets « complexes » pour une animation 3-d comme des reflets dans l’eau ou du feu ou des jeux d’ombres complexes. Ce sont les humains qui souffrent le plus de cette économie de temps de « rendering ». Tout le monde semble avoir a même couleur de peau, les traits ne sont pas détaillés du tout, les cheveux sont généralement immobiles, etc. L’effet final est bien mais pas super.
Côté histoire, si on prend le film comme entité unique c’est assez bien. Si on regarde ce qui se fait comme film semblable, on se rend compte que plusieurs gags sont des calques d’autres films. L’un des gags de la fin est une reprise d’un gag du film Hoodwinked. On a aussi quelques gags pet et de rots dignes de Shrek qui feront rigoler les plus petits mais dont les parents se seraient sûrement passer. Même la scène avec le chien n’est pas sans rappeler les mouettes de Finding Nemo.
Mais là où le film brille c’est dans le choix des voix. William Shatner dans le rôle d’un opossum qui donne dans les excès quand il fait le mort est une perle. Gary Shandling fait un Verne impeccable et même Avril Lavigne tire son épingle du jeu pas trop mal. Mais c’est Hammy l’écureuil, joué par Steve Carrell, qui vole toutes les scènes. Oubliez Bruce Willis et son RJ qui n’a rien de remarquable, c’est l’écureuil qui fait le show. D’ailleurs le film aurait probablement été particulièrement ennuyeux si ce n’eut été de Hammy.
Sommes toutes, Over the Hedge est un bon petit divertissement qui peut être apprécié en famille. Plusieurs gags visuels vont amuser les plus petits et la tentative de critique sociale sur la consommation va plaire aux plus grands. Soyez avisé, si vous lisez la BD, que la critique est généralement moins mordante dans le film.
Je donne donc à Over the Hedge 3,5 ninjas. Et si vous hésitez entre Over the Hedge et Da Vinci Code : le graal se cache dans le musée du Louvres, sous les deux pyramides inversés et Audrey Tautou est la moult fois arrière petite-fille de Jésus.
J’imagine que le paragraphe précédent aurait du avoir un avertissement. Alors faites attention avant de le lire.
vendredi, mai 19, 2006
Ce midi à Radio-Canada
Lors d'une discussion sur le film Da Vinci Code l'un des intervenants a tenu les propos suivants (paraphrasés car je l'ai entendu d'une oreille dìstrète): "Ce n'est pas l'idée d'un prophète qui fait des actes charnels qui dérange les gens. Après tout, le film La vie de Brian montrait un prophète qui avait des actes charnels avec une femme et personne ne s'est offensé".
Quand on se rappelle à quel point le personnage principal du film insiste sur le fait qu'il n'est pas prophète et qu'il veut que les gens lui foutte la paix avec cette idée saugrenue, c'est doublement comique de voir cette comédie citée comme argument dans un débat qui se veut sérieux.
Au moins il n'a pas mentionné Bigus Dickus.
Alway look on the bright side of life, comme ils disent.
Quand on se rappelle à quel point le personnage principal du film insiste sur le fait qu'il n'est pas prophète et qu'il veut que les gens lui foutte la paix avec cette idée saugrenue, c'est doublement comique de voir cette comédie citée comme argument dans un débat qui se veut sérieux.
Au moins il n'a pas mentionné Bigus Dickus.
Alway look on the bright side of life, comme ils disent.
mercredi, mai 17, 2006
Pauvres cols-bleus
Selon une étude publiée hier dans le journal de Montréal, 23% des cols bleus de Montréal s'estiment souffrir d'harcèlement psychologique.
À vue de nez comme ça c'est un gros chiffre mais on peut faire dire ce qu'on veut à des chiffres, 70% des gens le savent. De ce chiffre je retiens les mots "s'estiment" et "cols bleus".
Tout d'abord, attardons-nous sur "col bleu" une minute. Il paraît évident que ce sont les cols bleus qui sont les héros/victime de cette étude. Mais qu'en ait-il du reste du monde du travail. Est-ce que ce chiffre est révélateur du fait que les cols-bleus font pitié ou bien est-ce que 23% comparé au Montréalais salarié moyen c'est pas si pire.
Ensuite, il y a le mot "S'estime". Si je "m'estime" victime, est-ce ça veut dire que je le suis vraiment ou bien suis-je seulement paranoïaque? L'un n'empêche pas l'autre mais tout de même, un syndicat qui ne donne pas à 23% de ces membres les moyens de se défendre en cas de harcèlement ce n'est pas pas fort fort. En fait, à la lumière de ces chiffre j'irais manifester mon mécontentement à mes leaders syndicaux devant cet état accablant état de faits si j'étais un col bleu. A tout le moins je me demanderais à quoi sert mon syndicat à part me donner des congés de déglaçage les jours d'hiver quand il est en négociation avec la ville.
Le syndicat des cols bleus m'inspire cette petite variation de la devinette classique d'Asimov: Si 9 cols bleus colmattent 9 nids-de-poule en 9 heure, combien de temps 1 col bleu mettra-t-il pour boucher un demi-trou dans la chaussée?
Réponse: un demi-trou, ça n'existe pas puisque par définition ce qui va rester va toujours être un trou (jusqu'à ce que rempli).
À vue de nez comme ça c'est un gros chiffre mais on peut faire dire ce qu'on veut à des chiffres, 70% des gens le savent. De ce chiffre je retiens les mots "s'estiment" et "cols bleus".
Tout d'abord, attardons-nous sur "col bleu" une minute. Il paraît évident que ce sont les cols bleus qui sont les héros/victime de cette étude. Mais qu'en ait-il du reste du monde du travail. Est-ce que ce chiffre est révélateur du fait que les cols-bleus font pitié ou bien est-ce que 23% comparé au Montréalais salarié moyen c'est pas si pire.
Ensuite, il y a le mot "S'estime". Si je "m'estime" victime, est-ce ça veut dire que je le suis vraiment ou bien suis-je seulement paranoïaque? L'un n'empêche pas l'autre mais tout de même, un syndicat qui ne donne pas à 23% de ces membres les moyens de se défendre en cas de harcèlement ce n'est pas pas fort fort. En fait, à la lumière de ces chiffre j'irais manifester mon mécontentement à mes leaders syndicaux devant cet état accablant état de faits si j'étais un col bleu. A tout le moins je me demanderais à quoi sert mon syndicat à part me donner des congés de déglaçage les jours d'hiver quand il est en négociation avec la ville.
Le syndicat des cols bleus m'inspire cette petite variation de la devinette classique d'Asimov: Si 9 cols bleus colmattent 9 nids-de-poule en 9 heure, combien de temps 1 col bleu mettra-t-il pour boucher un demi-trou dans la chaussée?
Réponse: un demi-trou, ça n'existe pas puisque par définition ce qui va rester va toujours être un trou (jusqu'à ce que rempli).
jeudi, mai 04, 2006
Han a tiré en premier
Bonne nouvelle pour les fans de Star Wars qui étaient aussi déçu que moi de voir ce que Lucas avait fait des classiques de notre enfance avec les nouvelles versions des épisodes 4-5-6.
Selon cet article (lien en anglais) les originaux seront publiés en DVD cet automne.
hmmmm, bonheur de fanboy qui n'a pas aimé la dernière version cinéma des films. Je vais enfin pouvoir fredonner avec les Ewoks à la fin de Retour du Jedi (oui, je suis assez geek pour la chantonner dans l'Ewok original quand j'écoute la toune)
Selon cet article (lien en anglais) les originaux seront publiés en DVD cet automne.
hmmmm, bonheur de fanboy qui n'a pas aimé la dernière version cinéma des films. Je vais enfin pouvoir fredonner avec les Ewoks à la fin de Retour du Jedi (oui, je suis assez geek pour la chantonner dans l'Ewok original quand j'écoute la toune)
mercredi, mai 03, 2006
Scary movie 4
Il n’y a rien comme une bonne petite sortie cinéma pour se requinquer le moral en cette période d’impôts. Cet adage compte double quand on va voir une comédie comme Scary movie 4.
Scary Movie 4 raconte l’histoire d'une blondinette, récemment séparée de son amant et de son fils adoptifs, tous deux introduits dans le troisième volet de la série, se cherchant un emploi dans le monde des soins à domicile pour personne en perte d’autonomie. Mais la maison qu'on lui assigne couvre un terrible secret qui sera révélé quand des tripodes de l’espace vont envahir la terre.
OK, ce n’est pas du Shakespeare. Le film n’a rien d’intellectuel. Rien. Mais c’est un bon petit divertissement. Malheureusement, ce n’est pas un divertissement à la portée de tous. En effet, le film ne parodie pas le « genre » film d’horreurs en général mais plusieurs films en particulier.
On pourra noter des clins d’œil aux films Saw, War of the Worlds, the Village, Brokeback Mountain et The Grudge. On écorche aussi des moments de Pop Culture comme la déclaration d’amour de Tom Cruise à Katie Holmes, Michael Jackson et George W Bush. Le problème c’est que si on a pas vu tous les films dont on se moque ou si on n’a pas vu passer les mésaventures des gens parodiés, plusieurs gags passent sous le radar. On peut donc d’ores et déjà dire que le film va vieillir très mal. Après tout, qui se souviendra des élucubrations de Tom Cruise dans quelques années?
Je donne 3 ninjas à Scary Movie 4. Le film va probablement perdre ½ à 1 ninja par an donc vous voudrez probablement le voir le plus vite possible si vous voulez l’aimer. Par contre, si vous n’avez pas vu tous les films parodiés attendez qu’il passe à la télévision. Sinon, ça peut faire une bonne soirée de location de film bien arrosée de pop-corn. Vous risquez même de vous esclaffer d’un bon rire bien gras de temps en temps.
Scary Movie 4 raconte l’histoire d'une blondinette, récemment séparée de son amant et de son fils adoptifs, tous deux introduits dans le troisième volet de la série, se cherchant un emploi dans le monde des soins à domicile pour personne en perte d’autonomie. Mais la maison qu'on lui assigne couvre un terrible secret qui sera révélé quand des tripodes de l’espace vont envahir la terre.
OK, ce n’est pas du Shakespeare. Le film n’a rien d’intellectuel. Rien. Mais c’est un bon petit divertissement. Malheureusement, ce n’est pas un divertissement à la portée de tous. En effet, le film ne parodie pas le « genre » film d’horreurs en général mais plusieurs films en particulier.
On pourra noter des clins d’œil aux films Saw, War of the Worlds, the Village, Brokeback Mountain et The Grudge. On écorche aussi des moments de Pop Culture comme la déclaration d’amour de Tom Cruise à Katie Holmes, Michael Jackson et George W Bush. Le problème c’est que si on a pas vu tous les films dont on se moque ou si on n’a pas vu passer les mésaventures des gens parodiés, plusieurs gags passent sous le radar. On peut donc d’ores et déjà dire que le film va vieillir très mal. Après tout, qui se souviendra des élucubrations de Tom Cruise dans quelques années?
Je donne 3 ninjas à Scary Movie 4. Le film va probablement perdre ½ à 1 ninja par an donc vous voudrez probablement le voir le plus vite possible si vous voulez l’aimer. Par contre, si vous n’avez pas vu tous les films parodiés attendez qu’il passe à la télévision. Sinon, ça peut faire une bonne soirée de location de film bien arrosée de pop-corn. Vous risquez même de vous esclaffer d’un bon rire bien gras de temps en temps.
Doom
Encore une fois, la période des impôt oblige un relâchement des muscles du cerveau. Un location d’un film mettant en vedette un lutteur et dont le DVD dégage la douce odeur de testostérones s’impose. D’où ma location de Doom.
Pour ceux qui n’avaient pas d’ordinateur au début des années ’90, Doom est basé jeu dont la prémisse est : « Il y a plein de choses qui bougent et le sol est jonché d’armes et de munitions. Il doit bien y avoir un moyen de marier ces deux faits ». Le film suit grosso modo la même prémisse, munitions sur le sol en moins.
Doom raconte l’hister d’un type nommée Sarge (comme sergent en anglais, pas comme Serge prononcé tout croche), le leader d’une escouade tactique d’élite. Cette équipe est déployée sur mars pour tuer des monsses (c’est comme un monstre mais plusse fort). S’ensuit du boom-boom et des scènes de bûche mettant en vedette The Rock.
Pour ceux qui ont passé des heures à courir après leurs amis ou collègues sur l’heure du midi dans l’espoir de les fragger, le film Doom s’adresse à vous. On retrouve plusieurs aspects du jeu original dont un scène en perspective première personne et même une scène de combats à la scie mécanique. On a même une apparition éclaire du BFG (renommé Bio Force Gun parce que Big Fucking Gun, ça ne fait pas familial). Mais le film n’est pas 100% fidèle aux petits détails.
Par exemple, le fameux BFG dans le jeu il ne suffit que de le tirer dans la direction générale des méchants pour nettoyer un couloir. Dans le film, ce fusil n’a l’air que de servir à faire fondre des murs.
Il n’y a pas non plus de progression logique comme dans le jeu. On a pas « clé bleue, clé jaune, clé rouge et c’est fini » comme dans sur le jeu sur l’ordinateur. On a pratiquement pas non plus d’histoire de tourner en rond pendant une demie heure pour essayer tous les murs pour trouver la porte secrète derrière laquelle se trouve la clé qu’on cherche pour finir le tableau.
Et il y a un truc dont je ne revient toujours pas : Doom est un jeu de fusils. C’est un jeu où tout se joue à la première personne et avec ses armes. La plupart des adeptes vous diront que de recourir à la scie mécanique implique généralement une mort à brève échéance. Donc avec toute l’importance donnée aux armes à feu dans le jeu, pourquoi avoir une grosse bataille à mains nues comme climat au film? C’est l’équivalent d’un remake de Jaws dont la scène où le shérif affronte le requin se déroulerait sur les collines verdoyantes de l’Irlande. En fait, c’est plus comme si on faisait un film sur l’holocauste où tous les SS porteraient des lederhosen comme uniforme parce que le costumier et le réalisateurs se seraient dit : « les nazis et les lederhosen sont allemands donc on peut les mêler sans problèmes puisqu’ils ont un lien ». Si au moins ce combat avait été fait comme un combat à l’épée utilisant des scies mécaniques, j’aurais pu laisser passer mais ce n’est malheureusement pas le cas.
Je donne 2 ninjas à Doom parce que c’est un divertissement tout ce qu’il y a de moins cérébral. Écouter Doom est probablement l’activité la plus proche de l’état végétatif que vous pouvez faire sans mettre en péril vos fonctions biologiques supérieures. Louez-le mais n’attendez pas qu’il passe à la télévision. Le regarder sur le petit écran pourrait être risqué car si vous êtes coincé pour regarder une pause commerciale pendant que votre cervelle est si peu engagée, vous risquez d’acheter tout ce qui vous passe sous les yeux en triple exemplaire.
En attendant, je demeure curieux de savoir ce qu’Hollywood pourrait faire avec un jeu première personne qui a une histoire complexe et engageante comme Half-Life ou encore avec une histoire vraiment bizarre et incompréhensible comme Half-Life 2.
Pour ceux qui n’avaient pas d’ordinateur au début des années ’90, Doom est basé jeu dont la prémisse est : « Il y a plein de choses qui bougent et le sol est jonché d’armes et de munitions. Il doit bien y avoir un moyen de marier ces deux faits ». Le film suit grosso modo la même prémisse, munitions sur le sol en moins.
Doom raconte l’hister d’un type nommée Sarge (comme sergent en anglais, pas comme Serge prononcé tout croche), le leader d’une escouade tactique d’élite. Cette équipe est déployée sur mars pour tuer des monsses (c’est comme un monstre mais plusse fort). S’ensuit du boom-boom et des scènes de bûche mettant en vedette The Rock.
Pour ceux qui ont passé des heures à courir après leurs amis ou collègues sur l’heure du midi dans l’espoir de les fragger, le film Doom s’adresse à vous. On retrouve plusieurs aspects du jeu original dont un scène en perspective première personne et même une scène de combats à la scie mécanique. On a même une apparition éclaire du BFG (renommé Bio Force Gun parce que Big Fucking Gun, ça ne fait pas familial). Mais le film n’est pas 100% fidèle aux petits détails.
Par exemple, le fameux BFG dans le jeu il ne suffit que de le tirer dans la direction générale des méchants pour nettoyer un couloir. Dans le film, ce fusil n’a l’air que de servir à faire fondre des murs.
Il n’y a pas non plus de progression logique comme dans le jeu. On a pas « clé bleue, clé jaune, clé rouge et c’est fini » comme dans sur le jeu sur l’ordinateur. On a pratiquement pas non plus d’histoire de tourner en rond pendant une demie heure pour essayer tous les murs pour trouver la porte secrète derrière laquelle se trouve la clé qu’on cherche pour finir le tableau.
Et il y a un truc dont je ne revient toujours pas : Doom est un jeu de fusils. C’est un jeu où tout se joue à la première personne et avec ses armes. La plupart des adeptes vous diront que de recourir à la scie mécanique implique généralement une mort à brève échéance. Donc avec toute l’importance donnée aux armes à feu dans le jeu, pourquoi avoir une grosse bataille à mains nues comme climat au film? C’est l’équivalent d’un remake de Jaws dont la scène où le shérif affronte le requin se déroulerait sur les collines verdoyantes de l’Irlande. En fait, c’est plus comme si on faisait un film sur l’holocauste où tous les SS porteraient des lederhosen comme uniforme parce que le costumier et le réalisateurs se seraient dit : « les nazis et les lederhosen sont allemands donc on peut les mêler sans problèmes puisqu’ils ont un lien ». Si au moins ce combat avait été fait comme un combat à l’épée utilisant des scies mécaniques, j’aurais pu laisser passer mais ce n’est malheureusement pas le cas.
Je donne 2 ninjas à Doom parce que c’est un divertissement tout ce qu’il y a de moins cérébral. Écouter Doom est probablement l’activité la plus proche de l’état végétatif que vous pouvez faire sans mettre en péril vos fonctions biologiques supérieures. Louez-le mais n’attendez pas qu’il passe à la télévision. Le regarder sur le petit écran pourrait être risqué car si vous êtes coincé pour regarder une pause commerciale pendant que votre cervelle est si peu engagée, vous risquez d’acheter tout ce qui vous passe sous les yeux en triple exemplaire.
En attendant, je demeure curieux de savoir ce qu’Hollywood pourrait faire avec un jeu première personne qui a une histoire complexe et engageante comme Half-Life ou encore avec une histoire vraiment bizarre et incompréhensible comme Half-Life 2.
Ballstastic
Lu sur le site d'un autre blogger (en anglais)
Stephen Colbert était un correspondant dans l'émission de nouvelles satiriques de John Stewart. Pour ceux qui ne connaissent pas John Stewart, c'est la coqueluche de l'heure. Selon certains sondage son émission est la principale source d'information des jeunes américains. C'est que John prend les nouvelles et montre à quelle point les politiciens peuvent parfois être des faux-culs.
L'un des correspondants principaux de cette émission, Stephen Colbert, a maintenant sa propre émission. Il a été conviéen plus à donner un discour au dîner des correspondants de la maison blanche.
Par contre, Colbert s'est fait un peu officieusement rabroué par un "silence" de la maison blanche sur sa performance. En effet, il paraîtrait que certains des gags seraient un peu trop prêts de la réalité.
Faites-vous plaisir. Allez voir les vidéos de la performance de Colbert. Une performance qualifiée par John Stewart de Ballstastic que je traduirai librement par fantascouille.
Mon moment préféré: "I beleive that he governs governs least which is why I think we set up a wonderful government in Irak" (Je crois que celui qui gouverne le mieux gouverne le moins ce qui fait que je crois qu'on a mis en place un superbe gouvernement en Irak)
Stephen Colbert était un correspondant dans l'émission de nouvelles satiriques de John Stewart. Pour ceux qui ne connaissent pas John Stewart, c'est la coqueluche de l'heure. Selon certains sondage son émission est la principale source d'information des jeunes américains. C'est que John prend les nouvelles et montre à quelle point les politiciens peuvent parfois être des faux-culs.
L'un des correspondants principaux de cette émission, Stephen Colbert, a maintenant sa propre émission. Il a été conviéen plus à donner un discour au dîner des correspondants de la maison blanche.
Par contre, Colbert s'est fait un peu officieusement rabroué par un "silence" de la maison blanche sur sa performance. En effet, il paraîtrait que certains des gags seraient un peu trop prêts de la réalité.
Faites-vous plaisir. Allez voir les vidéos de la performance de Colbert. Une performance qualifiée par John Stewart de Ballstastic que je traduirai librement par fantascouille.
Mon moment préféré: "I beleive that he governs governs least which is why I think we set up a wonderful government in Irak" (Je crois que celui qui gouverne le mieux gouverne le moins ce qui fait que je crois qu'on a mis en place un superbe gouvernement en Irak)
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