jeudi, mai 14, 2009

pratiquement plagié

Zut! Zut! et Rezut!

Patrick Lagacé a honteusement copié mon dernier billet sur son blogue.
La preuve: http://blogues.cyberpresse.ca/lagace/?p=70722912

Non mais! si je n'avais pas moi-même pillé cette nouvelle sur Le site de The Register, je serais carrément insulté.

La preuve qu'il m'a copié: l'heure et la date affichés sur mon billet précèdent le sien d'environ 12 heures. Évidemment, mes pièces à convictions ne sont pas ce qui se font de mieux parce que je peux changer l'heure affichée sur mes billets à ma guise mais bon! le principe est là. On pourrait aussi arguer que son texte est complètement différent du mien mais encore là, on défend un principe. Un peu comme crier "Liberté" partout.

M. Lagacé, si vous repassez ici, oermettez-moi de vous servir le bonhomme-grimacce en émoticon de la réprobation :P (j'en ai d'autre enréserve si vous me recopiez à l'avenir, considérez-vous averti... et réprobé)

mercredi, mai 13, 2009

Petites nouvelles des années '80

Vous vous souvenez de Debborah "Debbie" Gibson?

Les chances sont minces si vous avez moins de 30 ans. Pour les vieux pichous génération X parmi vous, vous serez heureux de savoir que madame gibson est encore active dans le show business.

Oui monsieur, elle fait des films maintenant.

Et quels films! Voici un trailer d'une de ses futures "oeuvres".



Je dois dire que je vais garder l'oeil ouvert pour ce film dans mon club vidéo local. Je pense qu'il est difficile de trouver une prémisse plus ridicule pour un film.

dimanche, mai 03, 2009

Repo! the genetic opera

Je dois l'avouer, je suis fan de Joss Whedon. Cela signifie que j'ai suivi assez religieusement les péripéties de Buffy à l'époque. Alors quand une comédie musicale mettant en vedette Anthony Stewart Head (Giles dans la série Buffy) j'ai tout de suite voulu voir le film. Pourquoi je ne l'ai pas vu tout de suite? Parce que ce film met aussi en vedette Paris Hilton.



Repo! the Genetic Opera (R!tGO) raconte l'histoire d'un futur pas trop lointain où une épidémie de panne d'organes fait rage. Heureusement, la compagnie GeneCo fournit des organes artificiels beaux, bons, pas trop chers. Par contre, si vous vous retrouvez en défaut de paiement, ils enverront le terrible Repoman pour reprendre possession de vos organes de pauvre.



Si vous êtes comme moi, vous dans une relation ou l'un (bon, avouons-le, une) des membres veut toujours regarder des comédies musicales et l'autre aime bien les films ou le sang jaillit un brin. Les films qui satisfont à toutes ces demandes sont plutôt limités. À part R!tGO, je ne peux penser qu'à Sweeney Todd qui satisfasse aux exigences de tous. Du moins jusqu'à ce que la version orchestrale d'Orange mécanique arrive en salles.

Il y a deux gros problèmes dans ce film. Le premier problème c'est que la distribution des rôles n'est pas nécessairement allée aux acteur qui ont la meilleure voix. On leur a préféré ceux qui sont prêts à travailler pour pas cher et d'être vu dans le même film que Paris Hilton. Et quand le talent n'est pas le premier critère, le côté comédie musicale en prend pour son rhume. Heureusment que Sarah Brightman et Anthony Steward Head sont là pour remonter la moyenne parce que le reste des acteurs vont du "tolérable" au Paris Hilton.

Le second problème de ce film c'est qu'il semble évident que les producteurs visaient d'en faire un film culte dès le départ. Mais faire un film culte, c'est comme faire un enfant cool. Si tu essaies trop fort, ton jupon dépasse et t'as l'air fou plus que d'autres choses.

Sinon, l'histoire est un peu confuse mais j'ai déjà vu des comédies nusicales ou des opéras tout aussi flyés. Par contre la musique est un peu oubliable. Je serais incapable de sifflotter ne serais-ce qu'une ou deux mesures de ce film. Le plus triste (pour ce film) c'est que même ma femme qui est bien plus mélomane que moi ne pouvais chantonner un seul air non plus. Il ne faut donc pas s'attendre, en voyant ce film, à unfilm qui va vous marquer à jamais.

Sommes toutes, c'est un film très violent mettant en vedette un casting presque totalement dépourvu de talent (à part sarah brightman et Anthony Steward Head) avec des tounes oubliables mais des décors assez chouettes. Ça peut valoir une location mais sachez dans quoi vous vous embarquez.

Je donne donc 2 ninjas à ce film. Ces ninjas comprennent maintenant pourquoi Paris Hilton s'est mérité un Razzie pour ce film et s'ennuient des bons vieux jours où elle ne faisait que des films en vision nocturne.

samedi, mai 02, 2009

X-Men Origines: Wolverine

Grâce aux merveilles des attaques d'insomnies provoquées par un épisode de stress (comme de savoir que quelqu'un d'autre profite de mon ordi performant et que je me contenter de mon ordinosaure Linux à cause d'un cambriolage) j'ai tout le loisir de prendre un peu de temps pour écrire un critique de X-Men Origins: Wolverine.

Ce film narre l'origine du personnage de Logan (alias Wolverine) et agit comme un prologue au film X-Men. Ce film prend comme base la série Weapon-X et lui fait des choses horrible.

Quand vous travaillez sur un projet de film basé sur une BD et que votre producteur connait le matériel de base et lui accorde le même respect que les autres fans lui portent, vous obtenez des films comme Watchmen, X-Men, X-Men 2, Batman Returns, 300 ou Superman Returns. Quand vous confiez le film à un type qui ne connait du sujet que les films précédents et qui imagine son projet comme une BD, ça donne des trucs comme Batman & Robin, Fantastic Four, X-Men the Last Stand ou X-Men Origins.

La même formule qui ne fonctionnait pas pour X-Men The Last Stand est reprise dans Origins: si un mutant c'est cool, 2 mutants c'est deux fois plus cool et par conséquent une bonne vingtaine de mutants c'est 20 fois plus cool. Évidemment, l'univers ne fonctionne pas comme ça et plutôt que de reposer sur 4 ou 5 personnages mémorables, le film s'embourbe dans une véritable tribu de personnages qu'on oubliera en moins de deux parce que chacun d'entre eux peut se considérer chanceux s'il a plus que trois lignes de dialogues.

De plus, parce qu'il est impossible de créer des liens ou des conflits avec des personnages aussi minces, l'histoire de Wolverine se fait savonner avec un traitement Soap-Operatesque ou tout le monde devient le frère ou la soeur de tout le monde. Grâce à cette technique, Wolverine et Sabretooth deviennent frère et Emma Frost et Silver Fox deviennent soeurs. Ce dernier lien est assez impressionnant étant donné que l'un des personnages (Silver Fox) est d'origine amérindienne et Frost est une blondinette aux bleux.

Si le film n'était pas basé sur une bande dessinée existante qui cmprend déjà une mythologie établie et un univers connu de ses fans, ces changements seraient mineurs. Mais ces modifications à l'emporte-pièce vont irriter surtout ceux qui rendent ces films rentables: les fans.

Ce qui est ironique c'est que le problème de la surmultiplication des personnages est aussi faite pour faire plaisir aux fans. Dans ce film c'est l'inclusion de Gambit qui a été "donnée" comme bonbon à ceux-ci. Mais même ce personnage populaire a été modifié (il s'est fait enlever son accent Cajun entre autre) et il ne reçoit qu'entre 5 et lignes de dialogue.

Et que dire de Sabertooth? Ce peronnage du premier film revient mais cette fois-ci c'est Liev Schreiber qui le joue. Ils ont confié le rôle d'un gros poilu anial et sauvage a l'acteur qui me vient a l'esprit quand on pense à "clean-cut". Au moins, il est enthousiaste et il semble prendre goût au rôle. ce qui n'est pas le cas pour tout le monde.

Hugh Jackman qui reprend le rôle titre ne semble pas se donner autant que dans les films précédents. On dirait parfois qu'il reprend le personnage par dépit, parce que de refaire un film de super-héros est le seul moyen de redorrer son étoile qui n'a jamais connu de succès commerciaux critiques en dehors des films des X-Men.

Mais si on essaie de juger le film sur ses propres mérites, il n'y a pas grand choses pour le sauver non plus. L'histoire est confuse et pleine de trous et les dialogues sont à toute fins pratiques, inexistants. Il reste donc que les effets spéciaux qui sont chouettes et quelques scènes d'action qui sont correctes mais sans plus.

Je donne donc à X-Men Origins: Wolverine 2 ninjas, deux ninjas qui sortent du cinéma déçus car ils s'attendaient à voir un documentaire sur l'origine des carcajous.

vendredi, mai 01, 2009

La critique de Wolverine va vnir plus tard

Car nous avons été victimes de cambriolage.

Ils on pris l'ordi qui a Windows, mais ils ont laissé une machine Linux et un viel écran 14 pouces .

Criss!