Tom Cruise et katie Holmes ont donné naissance à une petite fille qu'ils ont nommé "Suri"
D'après cet article:
http://www.nydailynews.com/front/story/410817p-347450c.html
ils se sont trompé dans leur hébreu et leur persan.
Mais ce qui est encore plus drôle c'est comment ils ont massacré leur français.
Suri veut bien entendu dire: que est devenu sur. Imaginer à la garderie:
- C'est à qui ce lait?
- Le lait à Suri
- Mais s'il a suri, on devrait le jeter!
Et comme la façon de le prononcer des anglais font que le nom sonne comme souris, on double le plaisir.
C'est aussi drôle que quand Madonna a nommé sa fille "Lourdes" qui n'est pas selon moi un nom à affubler un fille, surtout si elle a tendance à un surplus de poids.
vendredi, avril 21, 2006
mercredi, avril 19, 2006
Avec des si...
D'après cet article, Stephen Harper aurait aimé être un joueur de hockey s'il n'était pas Premier ministre.
Je peux le comprendre, ça paye beaucoup mieux.
Je me demande si l'entrevue avait été en français s'il aurait eu plus tendance à supporter les Canadiens.
Je peux le comprendre, ça paye beaucoup mieux.
Je me demande si l'entrevue avait été en français s'il aurait eu plus tendance à supporter les Canadiens.
mardi, avril 18, 2006
Il va y avoir du SPORT!
Pendant que la fièvre du hockey atteint son paroxysme à Montréal, où tout le monde se demande si les Canadiens vont faire les séries éliminatoires après une fin de saison incroyable, nos voisins du Sud se passionnent pour un autre sport.
En effet, l'enthousiasme des américains envers le hockey n'a jamais été très élevé. En zappant d'un poste à l'autre, j'ai pu voir de mes propres yeux la nouvelle passion des férus de sport de salon, ce sport parmi les sports, la coqueluche des chaînes de diffusion de sports :le poker.
Évidemment, on est apte à se demander : « oui mais, est-ce que c'est vraiment un sport si on peut le jouer bien assis sans bouger? ». À ça je répondrai : va donc savoir.
Ce n'est pas la première fois que j'entends parler d'une activité qui est à priori un jeu essayer de se faire passer pour un sport. Cette lubie survient souvent aux alentours des jeux olympiques d'été.
Le problème vient du fait que les règles utilisées par le COJO (comité Organisateur des Jeux Olympiques) sont lue un peu littéralement par les fans de ces jeux. Les règles stipulent en gros que : Sera considéré comme sport présenté aux jeux toute activité qui est
1- régie par un comité international reconnu
2- est pratiqué dans plusieurs pays
3- a des règles reconnues mondialement
4- Peut être filmé
Du coup, il n'en fallait pas plus pour que des groupes de bridge et d'échecs se mettent au pas et essaient de devenir des disciplines reconnues aux Olympiques. Je ne sais pas ce qui est arrivé aux dossier des échecs mais le bridge a arrêté ses démarches quand dans une compétition américaine les vainqueurs d'un tournoi se sont vu refuser leur prix parce que, et je vous jure que je n'invente rien, ils ont refusé de se soumettre à un test d'urine pour un contrôle anti-dopage. Malheureusement l'histoire ne précisait pas quelle drogue rendait meilleur au bridge mais j,imagine que n'importe quelle substance rendant les yeux vitreux et permettant ainsi à son partenaire de voir son jeu doit être problématique.
Mais blagues à part, je peux voir que les échecs sont un jeux basé sur la stratégie et que pour réussir au niveau international, il faut avoir une bonne commande des stratégies de base et plus avancées.
Je peux même voir que le bridge, avec la finesse et l'esprit nécessaire pour faire une bonne stratégie, demande des joueurs d'un bon calibre pour réussir dans les rangs des professionnels.
Mais le poker? Comment peut-on devenir 'bon' au poker? Ce n'est après tout qu'une version glorifiée du menteur. C'est un jeux de stratégie tout bête. Il suffit pour y jouer d'avoir une idée de base de combien des 311 875 200 mains possibles mon jeux de 5 cartes peut battre.
Je suis toujours estomaqué de voir l'image typique du joueur de poker dans les films hollywoodiens. On voit toujours le joueur de poker ultra-confiant qui peut battre tout le monde peu importe la table où il s'assoit comme si 70-80% du jeu ne dépendait pas uniquement de Dame Chance.
Pour moi l'idée d'un bon joueur de poker c'est comme l'idée d'une personne qui sait comment choisir les numéros de loterie. Si c'était si simple, les vrais experts n'auraient pas besoin de travailler de leur vie.
Je pense qu'au lieu de m'en faire avec cette mode 'poker' qui promet d'être plus que passagère, je vais me préparer à regarder l'équipe locale joueur leur saison mardi soir. Et pendant le match je vais contempler le prochain truc qui sera à la mode aux États-Unis. Je suis prêt à miser un 2 dollars que ça risque d'être quelque chose du genre le tic-tac-toe à relais.
En effet, l'enthousiasme des américains envers le hockey n'a jamais été très élevé. En zappant d'un poste à l'autre, j'ai pu voir de mes propres yeux la nouvelle passion des férus de sport de salon, ce sport parmi les sports, la coqueluche des chaînes de diffusion de sports :le poker.
Évidemment, on est apte à se demander : « oui mais, est-ce que c'est vraiment un sport si on peut le jouer bien assis sans bouger? ». À ça je répondrai : va donc savoir.
Ce n'est pas la première fois que j'entends parler d'une activité qui est à priori un jeu essayer de se faire passer pour un sport. Cette lubie survient souvent aux alentours des jeux olympiques d'été.
Le problème vient du fait que les règles utilisées par le COJO (comité Organisateur des Jeux Olympiques) sont lue un peu littéralement par les fans de ces jeux. Les règles stipulent en gros que : Sera considéré comme sport présenté aux jeux toute activité qui est
1- régie par un comité international reconnu
2- est pratiqué dans plusieurs pays
3- a des règles reconnues mondialement
4- Peut être filmé
Du coup, il n'en fallait pas plus pour que des groupes de bridge et d'échecs se mettent au pas et essaient de devenir des disciplines reconnues aux Olympiques. Je ne sais pas ce qui est arrivé aux dossier des échecs mais le bridge a arrêté ses démarches quand dans une compétition américaine les vainqueurs d'un tournoi se sont vu refuser leur prix parce que, et je vous jure que je n'invente rien, ils ont refusé de se soumettre à un test d'urine pour un contrôle anti-dopage. Malheureusement l'histoire ne précisait pas quelle drogue rendait meilleur au bridge mais j,imagine que n'importe quelle substance rendant les yeux vitreux et permettant ainsi à son partenaire de voir son jeu doit être problématique.
Mais blagues à part, je peux voir que les échecs sont un jeux basé sur la stratégie et que pour réussir au niveau international, il faut avoir une bonne commande des stratégies de base et plus avancées.
Je peux même voir que le bridge, avec la finesse et l'esprit nécessaire pour faire une bonne stratégie, demande des joueurs d'un bon calibre pour réussir dans les rangs des professionnels.
Mais le poker? Comment peut-on devenir 'bon' au poker? Ce n'est après tout qu'une version glorifiée du menteur. C'est un jeux de stratégie tout bête. Il suffit pour y jouer d'avoir une idée de base de combien des 311 875 200 mains possibles mon jeux de 5 cartes peut battre.
Je suis toujours estomaqué de voir l'image typique du joueur de poker dans les films hollywoodiens. On voit toujours le joueur de poker ultra-confiant qui peut battre tout le monde peu importe la table où il s'assoit comme si 70-80% du jeu ne dépendait pas uniquement de Dame Chance.
Pour moi l'idée d'un bon joueur de poker c'est comme l'idée d'une personne qui sait comment choisir les numéros de loterie. Si c'était si simple, les vrais experts n'auraient pas besoin de travailler de leur vie.
Je pense qu'au lieu de m'en faire avec cette mode 'poker' qui promet d'être plus que passagère, je vais me préparer à regarder l'équipe locale joueur leur saison mardi soir. Et pendant le match je vais contempler le prochain truc qui sera à la mode aux États-Unis. Je suis prêt à miser un 2 dollars que ça risque d'être quelque chose du genre le tic-tac-toe à relais.
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